Situé en Nouvelle Aquitaine, précisément à Vidaillat en Creuse (23), notre projet de reforestation s’inscrit dans un contexte de reconversion d’une friche en un espace forestier diversifié. La surface cadastrale de 2,6 hectares, située à une altitude de 600 mètres et bénéficiant d’une pluviométrie annuelle de 1012 mm, présente une opportunité unique pour le développement d’un peuplement forestier composé de chêne sessile, chêne rouge et hêtre. Ce projet vise à replanter 3200 arbres sur la totalité de la surface, transformant ainsi une friche en une forêt gérée durablement. La proximité de la ville de Limoges renforce l’importance de ce projet pour la région, en contribuant à la préservation de la biodiversité locale et en agissant comme un puits de carbone, crucial pour contribuer à l’atténuation du changement climatique.
Le projet global représente un potentiel de réduction et de séquestration de 3181 TéqCO2 au total (545 TéqCO2 déjà réservées). Il s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales. Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique.
Trois variétés françaises d'amandes ont été plantées (Lauranne, Ferragnès et Mandaline) à Saint-Martin-de-Crau sur le domaine familiale en 2021. Les arbres ont été formés en gobelet sur un tronc unique avec les charpentières à 1m du sol pour permettre une récolte mécanique des amandes sur les arbres. Pour permettre aux arbres de pousser parfaitement droit, des tuteurs solides ont été mis en place dès la plantation ainsi que des protections contre les rongeurs. Les arbres ont été taillés régulièrement tous les 30-40cm pour permettre une meilleure ramification. Des ruchers ont été mis à disposition d'apiculteurs pour un équilibre gagnant - gagnant : une meilleure polinisation des amandiers et des emplacements gratuits idéales pour les abeilles avant leur départ en transhumance. Les premières productions sont encourageantes et tendent vers l'objectif initial.
Carbomauges 4 : ce projet collectif concerne un groupe de 6 exploitations d'élevage dans les Mauges (sud ouest du Maine-et-Loire). Les agriculteurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies sur un total de 52,8 km de haies existantes, à planter 3,9 km de haies sur sol nu, et à planter 1,9 km d'arbres sur haie de colonisation. La demande de labellisation de ce projet est en cours. NB : ce projet collectif a été scindé en 4 lots nommés ici Carbomauges 1, 2, 3 et 4.
Crédit photo : Solenat
Parcelle 1: reboisement suite à une crise sanitaire survenue sur le Châtaignier dépérissant due au chancre et au phytophthora. Parcelle 2: reboisement suite à une crise sanitaire survenue sur le Frêne dus à la chalarose.
Il s'agit d'une partie (133 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue (319 TéqCO2 sur un total de 3181 TéqCO2 calculées).
Carbomauges 3 : ce projet collectif concerne un groupe de 6 exploitations d'élevage dans les Mauges (sud ouest du Maine-et-Loire). Les agriculteurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies sur un total de 52,8 km de haies existantes, à planter 3,9 km de haies sur sol nu, et à planter 1,9 km d'arbres sur haie de colonisation. La demande de labellisation de ce projet est en cours. NB : ce projet collectif a été scindé en 4 lots nommés ici Carbomauges 1, 2, 3 et 4.
Crédit photo : Solenat
Ce projet de boisement de prairie se situe sur la commune de Montbert, dans la Loire. L'objectif sera de diversifier le peuplement (mélange d'essences), mais aussi de créer des barrières visuelle et sonore à l'autoroute et de poser des clotures contre les cervidés.
Le projet se situe à Tresson (72) dans le département de la Sarthe en région du Pays de la Loire. Il s'agit d'un boisement d'une prairie qui servait également de terrain de quad sur une partie.
L'exploitation prévoit de planter 2,16 hectares de kiwis en avril 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières, principalement du maïs. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 91,77 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans. Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparé aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rend le projet encore plus vertueux.