Le projet situé à Valsonne dans le département du Rhône (69), région Auvergne-Rhône-Alpes, consiste en la reconstitution d’un peuplement forestier sur une surface de 5.6 hectares. Suite aux épisodes répétés de sécheresse de 2018, 2019 et 2022, les sapins pectinés ont subi des dépérissements significatifs, exacerbés par des attaques de scolytes. Cette situation préoccupante a poussé les propriétaires, ayant acquis cette forêt dans les années 80/90, à envisager une restauration de l’écosystème forestier, afin que celui-ci retrouve un état de santé et de productivité optimales, et assure ainsi toutes ses fonctions environnementales et sociales.
L'agricultrice a planté 2 hectares de kiwis en avril 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 98,33 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*.Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparé aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rend le projet encore plus vertueux.
M. Vianney Briais prévoit d'agrandir ses cultures de noisettes en plantant près de 8 ha de vergers en décembre 2022. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières, comme la majorité des terres agricoles de Beauce. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 371,11 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une culture agricole ainsi qu'une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir des terres agricoles abandonnées en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Situé en Nouvelle Aquitaine, précisément à Vidaillat en Creuse (23), notre projet de reforestation s’inscrit dans un contexte de reconversion d’une friche en un espace forestier diversifié. La surface cadastrale de 2,6 hectares, située à une altitude de 600 mètres et bénéficiant d’une pluviométrie annuelle de 1012 mm, présente une opportunité unique pour le développement d’un peuplement forestier composé de chêne sessile, chêne rouge et hêtre. Ce projet vise à replanter 3200 arbres sur la totalité de la surface, transformant ainsi une friche en une forêt gérée durablement. La proximité de la ville de Limoges renforce l’importance de ce projet pour la région, en contribuant à la préservation de la biodiversité locale et en agissant comme un puits de carbone, crucial pour contribuer à l’atténuation du changement climatique.
Ce projet mené par Anthony Tesson, fils d'André Tesson, fait directement écho aux vergers de son père. Culture unique en France, ces vergers de noix de pécan situés à Gontaud-de-Nogaret dans le Lot-et-Garonne, permettent à la fois d’augmenter le stockage carbone sur l‘exploitation, mais aussi de valoriser une activité agricole respectueuse de l’environnement. Anthony Tesson prévoit d'accroître la surface de son verger de 6,5 Ha de noix de pécan en Agriculture Biologique et ainsi permettre un stockage de près de 356,61 tonnes équivalent CO2 sur 20 ans*
Il s'agit d'une partie d'un projet de reboisement (667teqCO2 au total). Une première partie est déjà réséservée. Ce projet de reboisement se situe sur la commune de Bagnols, dans le département du Puy-de-Dôme (63), à proximité de Clermont-Ferrand. Cette zone est caractérisée par une altitude de 700 mètres et une pluviométrie annuelle de 927 mm. Ce projet a été initié en réponse aux dommages conséquents causés par des chutes de neige, affectant gravement le peuplement forestier existant. L’objectif principal est la reconstitution de ce peuplement dégradé, à travers un reboisement ciblé, comprenant la plantation de 4 490 arbres. Les essences sélectionnées – mélèze, pin laricio, douglas et essences mellifères – ont été choisies pour leur capacité à s’adapter au climat local et à favoriser la biodiversité de la parcelles.
Le projet de boisement à Saint Martin Sepert, situé dansle département de la Corrèze (19) en France, s’inscrit dans un contexte de reconversion d’anciennes terres agricoles. Couvrant une superficie cadastrale de 2,2 hectares, ce projet vise à introduire une culture de chêne rouge, avec un total de 2 420 arbres plantés. La région présente une altitude de 400 mètres et une pluviométrie annuelle de 1188 mm pour l’année 2021, conditions favorables au développement forestier. Le choix du chêne rouge comme essence unique répond à des critères écologiques et économiques spécifiques, notamment sa capacité d’adaptation et sa valorisation commerciale. Ce projet se veut une réponse concrète aux défis du changement climatique, en participant à la séquestration de carbone, estimée à 720 tonnes de CO2e.
Le projet global représente un potentiel de réduction et de séquestration de 3181 TéqCO2 au total (545 TéqCO2 déjà réservées). Il s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales. Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique.