Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une culture agricole en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Ancienne futaie d’épicéa commun. Peuplement instable aux vents entraînant des chablis accentués par la présence de Fomes et plus récemment de scolytes (attaques prononcées entre 2019 et 2020). L'état préoccupant du peuplement a donc demandé une coupe sanitaire en décembre 2020.Nécessité de reboiser avec des essences plus adaptées au contexte stationnel et aux évolutions du climat.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une culture agricole en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Ce projet situé en bordure de la forêt d'Ambillou vise à boiser 8 ha de prairie fourragère en pin maritime avec un accompagnement de chêne. L’ilot boisé permettra une continuité paysagère avec la forêt environnante et permettra d’obtenir un volume de bois d’œuvre de qualité suffisamment conséquent pour en permettre son exploitation à l'issue du cycle sylvicole.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Le site de Lafresguimont-Saint-Martin fait l’objet d’un reboisement, suite à une coupe d’urgence due à l’attaque de scolytes. Les épicéas étant arrivés à maturité et commençant à dépérir, le CRPF a validé en 2022 la coupe sanitaire afin d’endiguer la propagation des insectes et de permettre l’exploitation du bois. Quatre essences ont été choisies pour reboiser et diversifier cette ancienne monoculture. Elles ont été sélectionnées en raison de leur capacité à produire du bois d’oeuvre de qualité en poussant sur un territoire soumis à un climat océanique : hivers doux et humides, étés secs et frais.
Dans le département des Pyrénées-Atlantiques, le projet consiste à boiser 3,4 ha d'anciennes prairies pour ne pas les laisser à l'abandon. Les boisements seront en Sequoia (R&D, validé par l'INRAE). L'objectif est d'améliorer le paysage en évitant la présence d'une friche, de produire du bois d'œuvre et de réaliser un essai dans la filière forestière.
Ce projet vise à boiser 13,4 ha d’anciennes pâtures délaissées par un agriculteur partant à la retraite. Le propriétaire habite au milieu de la parcelle et souhaitait constituer un boisement dans la continuité d’une forêt existante. La parcelle se trouve à la jonction de 3 unités géologiques. La topographie est également changeante. On se retrouve donc à avoir presque 2 extrêmes sur la même parcelle : un plateau sableux et un bas de versant avec des argiles lourdes. Cette diversité de sol, ainsi que la volonté de créer un espace boisé diversifié et l’implantation de tests INRAe, ont entrainés de choix de plantation d’essences très diversifiées. 18 essences différentes seront plantées, en plein, en mélange, en alignement ou en placeaux. L’objectif est de combiner la création d’un cadre de vie, créer des corridors écologiques et produire du bois d’œuvre. Les quelques arbres déjà présents (morts et vivants) sont conservés en l’état.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Reboisement de 14,14 ha d'une forêt incendiée répartie en deux propriétés