Il s'agit d'une partie (100teqCO2) d'un projet de reboisement situé sur la commune de Bagnols, dans le département du Puy-de-Dôme (63), à proximité de Clermont-Ferrand. Cette zone est caractérisée par une altitude de 700 mètres et une pluviométrie annuelle de 927 mm. Ce projet a été initié en réponse aux dommages conséquents causés par des chutes de neige, affectant gravement le peuplement forestier existant. L’objectif principal est la reconstitution de ce peuplement dégradé, à travers un reboisement ciblé, comprenant la plantation de 4 490 arbres. Les essences sélectionnées – mélèze, pin laricio, douglas et essences mellifères – ont été choisies pour leur capacité à s’adapter au climat local et à favoriser la biodiversité de la parcelles.
Il s'agit d'une partie (40 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Il s'agit d'une partie (186 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Il s'agit d'une partie (186 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Il s'agit d'une partie (133 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue (319 TéqCO2 sur un total de 3181 TéqCO2 calculées).