Il s'agit d'une partie (40 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Les photographies d'illustration des projets sont des images purement illustratives.
Il s'agit d'une partie (40 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue. Le partenaire de terrain pour le suivi de la mise en œuvre du projet est : Amandera.
La méthode Label Bas Carbone utilisée pour ce projet est la méthode Verger.
La méthode Plantation de vergers cible les pratiques permettant l’atténuation des émissions de GES et l'augmentation du stockage du carbone dans les sols et la biomasse sur des terres agricoles non cultivées actuellement pour cet usage.
Début du projet
Expertise des parcelles et calcul d'indicateurs (densité, section, enherbement)
Audit final - Certification des crédits carbone
Le mandataire du projet est AMASISA SAS.
Amasisa est une entreprise solidaire d’utilité sociale (ESUS) qui conçoit, développe et opère des modèles agricoles et forestiers régénératifs avec pour mission la restauration les sols et de la biodiversité. Chaque projet participe à démontrer qu'il est possible d'associer des techniques régénératrices à une agriculture respectueuse des écosystèmes et socialement responsable pour faire face aux enjeux climatiques et alimentaires d’aujourd'hui et de demain. Au-delà de produire des fruits de qualité, il est indispensable de remettre l’agriculture au cœur de nos territoires pour l’ensemble des services qu’elle rend en matière de restauration des cycles de l’eau, du rafraichissement des terres, du maintien de la biodiversité et de séquestration du carbone atmosphérique.
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