

M. D exploite une ferme céréalière d’une surface de 181 hectares dans la plaine de la Woëvre caractérisée par des sols argileux. Le but de son projet est de rendre ses sols vivants, d’augmenter leur fertilité et de limiter le réchauffement climatique à son niveau. Les différents leviers mis en place par l’agriculteur pour y parvenir sont les suivants : -L’introduction de couvert court et long produisant une forte biomasse et permettant par la restitution au sol de celui-ci, le captage et stockage de carbone ainsi que l’apport au sol de matière organique. -La diminution de moitié de la quantité de compost épandu sur l’exploitation afin de diminuer les émissions liées à celui-ci. -La restitution au sol des pailles des cultures de l’exploitation afin d’apporter de la matière organique et ainsi nourrir et augmenter la réserve utile du sol pour être plus résilient pendant les périodes de sécheresse -Enfin, la modification de sa rotation avec l’introduction de tournesol qui est une plante plus résistante en période de sécheresse et qui permet de restituer ses résidus de culture au sol, enfin cette plante ne possède pas de forts besoins en azote, la dose qui lui est apportée est donc revu à la baisse et permet de diminuer les émissions liées à la fertilisation L’exploitant est sensible à l’impact de ses pratiques sur l’environnement et souhaite par son engagement dans la démarche carbone stimuler l’activité biologique de ses sols en leur apportant des matières organiques à dégrader.
Crédit photo : Raphaël Lecocq
Les photographies d'illustration des projets sont des images purement illustratives.
M. D exploite une ferme céréalière d’une surface de 181 hectares dans la plaine de la Woëvre caractérisée par des sols argileux. Le but de son projet est de rendre ses sols vivants, d’augmenter leur fertilité et de limiter le réchauffement climatique à son niveau. Les différents leviers mis en place par l’agriculteur pour y parvenir sont les suivants : -L’introduction de couvert court et long produisant une forte biomasse et permettant par la restitution au sol de celui-ci, le captage et stockage de carbone ainsi que l’apport au sol de matière organique. -La diminution de moitié de la quantité de compost épandu sur l’exploitation afin de diminuer les émissions liées à celui-ci. -La restitution au sol des pailles des cultures de l’exploitation afin d’apporter de la matière organique et ainsi nourrir et augmenter la réserve utile du sol pour être plus résilient pendant les périodes de sécheresse -Enfin, la modification de sa rotation avec l’introduction de tournesol qui est une plante plus résistante en période de sécheresse et qui permet de restituer ses résidus de culture au sol, enfin cette plante ne possède pas de forts besoins en azote, la dose qui lui est apportée est donc revu à la baisse et permet de diminuer les émissions liées à la fertilisation L’exploitant est sensible à l’impact de ses pratiques sur l’environnement et souhaite par son engagement dans la démarche carbone stimuler l’activité biologique de ses sols en leur apportant des matières organiques à dégrader. Le partenaire de terrain pour le suivi de la mise en œuvre du projet est : EMC2.
La méthode Label Bas Carbone utilisée pour ce projet est la méthode Grandes Cultures.
La méthode Grandes Cultures valorise les réductions d'émissions issues de modifications de pratiques agricoles dans les ateliers de grandes cultures.
Augmentation de la contribution à la biodiversité : une augmentation de la proportion d'éléments comme les prairies et la diversité des cultures contribue à la biodiversité
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeRéductions des émissions d'ammoniac : une réduction des pertes d'azote apportées vers l'air contribue à limiter la pollution atmosphérique de l'exploitation
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeRéduction de l'excédent du bilan azoté : une réduction des pertes d'azote apportées vers l'eau favorise une meilleure qualité de l'eau
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeDiminution sur les ressources peu renouvelables et phosphore : une réduction permet de limiter l'impact sur des ressources peu renouvelables ou limitées
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeAugmentation du potentiel nourricier : le projet permet d'augmenter le nombre de personnes potentiellement nourries par l'exploitation
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeAugmentation de la production de protéines végétales : cette production viendra, pour partie, se subsister à l'importation de protéines végétales pour les animaux
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeConsommation d'énergies non renouvelables : une réduction permet de limiter l'impact sur des ressources non renouvelables
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeDébut du projet
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Audit final - Certification des crédits carbone
Le mandataire du projet est Carbon and Co.
CarbonAndCo est une filiale du groupe InVivo Bioline assurant … crédibilité et solidité financière du mandataire sur un marché du carbone volontaire en pleine construction. La raison dêtre de CarbonAndCo:
- Mutualiser des projets Carbone des agriculteurs permettant d’agréger et de tracer pour ses clients – les financeurs de projet – les crédits carbone reconnus par les cadres de certification types LBC
- Garantir la juste rémunération du crédit carbone agricole au regard des coûts réels et des spécificités du projet de transition : localisation, choix des leviers évolution et impacts des co-bénéfices (biodiversité, qualité de l’eau et des sols…)
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