
Carbomauges : ce projet collectif concerne un groupe de 6 exploitations d'élevage dans les Mauges (sud ouest du Maine-et-Loire). Les agriculteurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies et à planter des haies supplémentaires. La demande de labellisation de ce projet sera réalisée en mars 2026. NB : ce projet collectif peut être scindé en plusieurs lots. Contactez-nous pour plus de précisions.
Crédit photo : Solenat

Ce projet concerne un élevage laitier de Vendée. Les éleveurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies et à planter des haies supplémentaires. La demande de labellisation de ce projet sera réalisée en mars 2026. Contactez-nous pour plus de précisions.
Crédit photo : Solenat

"Carbocage Mayenne : ce projet est porté par une exploitation d'élevage. Les agriculteurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies sur un total de 10,8 km de haies existantes, et à planter 3,4 km d'arbres sur haie de colonisation. La demande de labellisation de ce projet est en cours. Ce projet fait partie du projet collectif ""Carbocage 2024"". Le projet de 157T est scindé en 2 lots."
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Carbocage Mortagne / Sevre : ce projet collectif concerne 4 exploitations d'élevage. Les agriculteurs s'engagent à mettre en oeuvre une gestion durable des haies sur un total de 54,9 km de haies existantes, à planter 1,7 km de haie sur sol nu, et à planter 1,9 km d'arbres sur haie de colonisation. La demande de labellisation de ce projet est en cours. Le projet a été scindé en 2 lots, n'hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.
Crédit photo : Solenat

Située au lieu-dit Haute Porte sur la commune de Semblançay (37), cette parcelle d’environ 9,5 hectares est aujourd’hui une prairie maigre dédiée à la fauche. Elle est appelée à devenir un boisement diversifié, conforme à la vocation naturelle de ce territoire. Ce projet de premier boisement vise à recréer un couvert forestier résilient, structuré autour du chêne sessile et d’essences locales complémentaires, tout en respectant les contraintes stationnelles de la parcelle (sols acides, pente marquée, climat à gelées tardives). Il s'inscrit dans une dynamique de gestion durable à long terme et contribue à la reconstitution de la trame forestière régionale, tout en respectant les objectifs de conservation de la biodiversité à proximité immédiate d’un site Natura 2000 et d’une ZNIEFF.

Boisement de terres agricoles sans repreneur en essences résineuses diversifiées.

Cette parcelle a une superficie plantable de 4ha. Elle a subit de très importants dégâts avec la tempête Ciaran (90% de chablis). Les arbres ont été exploités pendant l'été 2024 et ont pu être utilisés pour des débouchés principalement en palettes. EcoTree s'est porté acquéreur en septembre 2024 de la parcelle après exploitation afin de replanter une forêt. La parcelle était auparavant en monoculture et a sera replantées avec 3 essences: L'épicéa de sitka, le thuya et le chêne rouge. La station offre une pluviométrie forte qui permettre à ces essences d'avoir une très bonne croissance sur ces terrains.

Le projet de Louchats s’inscrit dans une démarche de reconstitution d’un peuplement forestier détruit par les incendies dévastateurs de l’été 2022, dans le département de la Gironde. L’objectif est de restaurer 101,2 hectares de forêt sinistrée, et de favoriser une diversification, même mineure, en termes d’essences. Le projet inclut ainsi la création de corridors écologiques via une trame bocagère (lisières et cordons de feuillus), intégrée au paysage et bénéfique pour la trame verte et bleue locale.

Le projet de reboisement de Nozay, en Loire-Atlantique, concerne le développement d’une forêt mixte sur d’anciennes terres agricoles et prairies récentes, couvrant une superficie de 7,29 hectares.

Anne-Marie Cousty prévoit de planter 2,8 hectares de châtaigniers bio en février 2024. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 155,82 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*.