Le projet se situe à Tresson (72) dans le département de la Sarthe en région du Pays de la Loire. Il s'agit d'un boisement d'une prairie qui servait également de terrain de quad sur une partie.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir des pâtures en espace forestier essentiellement constitué d'essences feuillues adaptées aux conditions stationnelles et aux évolutions potentielles du climat. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.
La forêt de La Boissière située à Montjean, dans le département de la Mayenne, est un projet ambitieux visant à transformer d'anciennes prairies et terres agricoles en une futaie mélangée à couvert continu. Ce projet répond à un double enjeu : contribuer à la captation du carbone pour lutter contre le changement climatique et favoriser la biodiversité locale.
Le projet de reboisement de Nozay, en Loire-Atlantique, concerne le développement d’une forêt mixte sur d’anciennes terres agricoles et prairies récentes, couvrant une superficie de 7,29 hectares.
Il s'agit d'une partie (133 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue (133 TéqCO2 sur un total de 3181 TéqCO2 calculées).
Le projet global représente un potentiel de réduction et de séquestration de 3181 TéqCO2 au total (133 TéqCO2 déjà réservées). Il s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales. Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique.