
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir des pâtures en espace forestier essentiellement constitué d'essences feuillues adaptées aux conditions stationnelles et aux évolutions potentielles du climat. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Ce projet situé en bordure de la forêt d'Ambillou vise à boiser 8 ha de prairie fourragère en pin maritime avec un accompagnement de chêne. Le projet global représente au total 2441teqCO2. L’ilot boisé permettra une continuité paysagère avec la forêt environnante et permettra d’obtenir un volume de bois d’œuvre de qualité suffisamment conséquent pour en permettre son exploitation à l'issue du cycle sylvicole.

Le site de Lafresguimont-Saint-Martin fait l’objet d’un reboisement, suite à une coupe d’urgence due à l’attaque de scolytes. Les épicéas étant arrivés à maturité et commençant à dépérir, le CRPF a validé en 2022 la coupe sanitaire afin d’endiguer la propagation des insectes et de permettre l’exploitation du bois. Quatre essences ont été choisies pour reboiser et diversifier cette ancienne monoculture. Elles ont été sélectionnées en raison de leur capacité à produire du bois d’oeuvre de qualité en poussant sur un territoire soumis à un climat océanique : hivers doux et humides, étés secs et frais.

Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Le projet situé à Valsonne dans le département du Rhône (69), région Auvergne-Rhône-Alpes, consiste en la reconstitution d’un peuplement forestier sur une surface de 5.6 hectares. Suite aux épisodes répétés de sécheresse de 2018, 2019 et 2022, les sapins pectinés ont subi des dépérissements significatifs, exacerbés par des attaques de scolytes. Cette situation préoccupante a poussé les propriétaires, ayant acquis cette forêt dans les années 80/90, à envisager une restauration de l’écosystème forestier, afin que celui-ci retrouve un état de santé et de productivité optimales, et assure ainsi toutes ses fonctions environnementales et sociales.

L'agricultrice a planté 2 hectares de kiwis en avril 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 98,33 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*.Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparé aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rend le projet encore plus vertueux.

M. Vianney Briais prévoit d'agrandir ses cultures de noisettes en plantant près de 8 ha de vergers en décembre 2022. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières, comme la majorité des terres agricoles de Beauce. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 371,11 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*.

Ce projet mené par Anthony Tesson, fils d'André Tesson, fait directement écho aux vergers de son père. Culture unique en France, ces vergers de noix de pécan situés à Gontaud-de-Nogaret dans le Lot-et-Garonne, permettent à la fois d’augmenter le stockage carbone sur l‘exploitation, mais aussi de valoriser une activité agricole respectueuse de l’environnement. Anthony Tesson prévoit d'accroître la surface de son verger de 6,5 Ha de noix de pécan en Agriculture Biologique et ainsi permettre un stockage de près de 356,61 tonnes équivalent CO2 sur 20 ans*

Il s'agit d'une partie d'un projet de reboisement (667teqCO2 au total). Une première partie est déjà réséservée. Ce projet de reboisement se situe sur la commune de Bagnols, dans le département du Puy-de-Dôme (63), à proximité de Clermont-Ferrand. Cette zone est caractérisée par une altitude de 700 mètres et une pluviométrie annuelle de 927 mm. Ce projet a été initié en réponse aux dommages conséquents causés par des chutes de neige, affectant gravement le peuplement forestier existant. L’objectif principal est la reconstitution de ce peuplement dégradé, à travers un reboisement ciblé, comprenant la plantation de 4 490 arbres. Les essences sélectionnées – mélèze, pin laricio, douglas et essences mellifères – ont été choisies pour leur capacité à s’adapter au climat local et à favoriser la biodiversité de la parcelles.