
Le projet prend place sur la commune de Neufmesnil et consiste en la plantation de 13 200 arbres d'une dizaine d'essences différentes sur plus de 8,5 hectares de prairies agricoles.

L'exploitation prévoit de planter 2,16 hectares de kiwis en avril 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières, principalement du maïs. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 91,77 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans. Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparé aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rend le projet encore plus vertueux.

Ce projet consiste en la création d’un boisement sur d'anciennes terres agricoles, d'une surface totale de 5,27 ha, constitué en deux îlots respectivement de 4,22 ha et 1,05 ha, sur la commune de Daon.Ce boisement, sera composé des essences suivantes : chêne sessile, cèdre de l’Atlas et bouleau verruqueux. Le projet prévoit également la création de 135 m de haies doubles et la plantation d’arbres de haut jet sur une longueur d'environs 500 m

Le projet de séquestration de Ghislain et Emmanuelle De Bonfils consiste en la plantation de 2 ha de Châtaigniers certifiés Agriculture Biologique. Les parcelles choisies étaient auparavant cultivées avec des cultures annuelles. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire : en tout, 102,06 tonnes de CO2eq en 20 ans*.

Il s'agit d'une partie (100teqCO2) d'un projet de reboisement situé sur la commune de Bagnols, dans le département du Puy-de-Dôme (63), à proximité de Clermont-Ferrand. Cette zone est caractérisée par une altitude de 700 mètres et une pluviométrie annuelle de 927 mm. Ce projet a été initié en réponse aux dommages conséquents causés par des chutes de neige, affectant gravement le peuplement forestier existant. L’objectif principal est la reconstitution de ce peuplement dégradé, à travers un reboisement ciblé, comprenant la plantation de 4 490 arbres. Les essences sélectionnées – mélèze, pin laricio, douglas et essences mellifères – ont été choisies pour leur capacité à s’adapter au climat local et à favoriser la biodiversité de la parcelles.

Diversification de la production par la plantation d'un verger de 10ha de noisetiers dans l'Oise à proximité d'une usine de transformation des noisettes. Des ruchers ont été ajoutés au projet de verger ainsi que des volailles de chair label-rouge en synérgie avec le verger. Les premières productions auront lieu en 2024.
Crédit photo : Raphael Lecoq

Diversification de la production par la plantation d'un verger de 10ha de noisetiers dans l'Oise à proximité d'une usine de transformation des noisettes. Des ruchers ont été ajoutés au projet de verger ainsi que des volailles de chair label-rouge en synérgie avec le verger. Les premières productions auront lieu en 2024.
Crédit photo : Raphael Lecoq

Il s'agit d'une partie (186 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Crédit photo : Crédit photo Amandera

Il s'agit d'une partie (40 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Crédit photo : Crédit photo Amandera

Il s'agit d'une partie (186 téqCO2 sur un total de 3181) du projet mené à Savignac de Duras. Celui-ci s'inscrit dans un effort de relance de la production de fruits secs Bio agroécologiques en France. Il a pour objectif de restaurer des terres issues de décennies de grandes cultures et de maraichage, pour les transformer en écosystèmes vivants, stimulants pour la biodiversité, efficaces en matière de séquestration Carbone tout en optimisant les besoins en eau.Il s'agit aussi de démontrer que la mise en œuvre d'un ensemble de techniques agricoles anciennes et modernes peut contribuer à restaurer des sols extrêmement pauvres en matière organique et à l'arrêt d'un point de vue microbiologique. L'implantation de vergers durables s’inscrit dans une démarche de restauration des paysages agricoles disparus. Cette implantation au cœur de territoires historiquement producteurs doit également contribuer au développement et à la création de filières de production et de transformation locales.Il s’agit de construire un verger résilient à travers la mise en place de plusieurs cultures pérennes, l’association arboriculture et céréales en inter rang, la mise en place d’un couvert végétal systématique et le non-labour, l’implantation de haies de zones humides, etc. La séquestration du carbone est un impératif pour relever les taux de matière organique. Une partie du projet est déjà vendue.
Crédit photo : Crédit photo Amandera