
Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une culture agricole en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Ce projet situé en bordure de la forêt d'Ambillou vise à boiser 8 ha de prairie fourragère en pin maritime avec un accompagnement de chêne. Le projet global représente au total 2441teqCO2. L’ilot boisé permettra une continuité paysagère avec la forêt environnante et permettra d’obtenir un volume de bois d’œuvre de qualité suffisamment conséquent pour en permettre son exploitation à l'issue du cycle sylvicole.

Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Dans le département des Pyrénées-Atlantiques, le projet consiste à boiser 3,4 ha d'anciennes prairies pour ne pas les laisser à l'abandon. Les boisements seront en Sequoia (R&D, validé par l'INRAE). L'objectif est d'améliorer le paysage en évitant la présence d'une friche, de produire du bois d'œuvre et de réaliser un essai dans la filière forestière.

Ce projet vise à boiser 13,4 ha d’anciennes pâtures délaissées par un agriculteur partant à la retraite. Le propriétaire habite au milieu de la parcelle et souhaitait constituer un boisement dans la continuité d’une forêt existante. La parcelle se trouve à la jonction de 3 unités géologiques. La topographie est également changeante. On se retrouve donc à avoir presque 2 extrêmes sur la même parcelle : un plateau sableux et un bas de versant avec des argiles lourdes. Cette diversité de sol, ainsi que la volonté de créer un espace boisé diversifié et l’implantation de tests INRAe, ont entrainés de choix de plantation d’essences très diversifiées. 18 essences différentes seront plantées, en plein, en mélange, en alignement ou en placeaux. L’objectif est de combiner la création d’un cadre de vie, créer des corridors écologiques et produire du bois d’œuvre. Les quelques arbres déjà présents (morts et vivants) sont conservés en l’état.

Le boisement de ce terrain est motivé par la volonté de convertir une prairie en espace forestier. Les arbres habitats, les feuillus isolés ou en bosquets ainsi que les zones humides et les ripisylves, lorsqu’ils sont présents sur la parcelle, feront l’objet de mesures de conservation et de protection de la biodiversité.

Reboisement de 14,14 ha d'une forêt incendiée répartie en deux propriétés

Le projet situé à Valsonne dans le département du Rhône (69), région Auvergne-Rhône-Alpes, consiste en la reconstitution d’un peuplement forestier sur une surface de 5.6 hectares. Suite aux épisodes répétés de sécheresse de 2018, 2019 et 2022, les sapins pectinés ont subi des dépérissements significatifs, exacerbés par des attaques de scolytes. Cette situation préoccupante a poussé les propriétaires, ayant acquis cette forêt dans les années 80/90, à envisager une restauration de l’écosystème forestier, afin que celui-ci retrouve un état de santé et de productivité optimales, et assure ainsi toutes ses fonctions environnementales et sociales.

Patrick et Lydia Busselet prévoient de planter 3,9 hectares de Noyers en février 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant peu valorisées par l'exploitation agricole. La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 198,63 tonnes équivalents CO2*. Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus, cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparée aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rendre le projet encore plus vertueux. La SCEA Busselet a été citée comme exemple à suivre au sein de la coopératice Cerno pour ses pratiques pionnières en termes de paillage et d'implantation de couvert herbacé à fort potentiel de séquestration carbone. En effet l'exploitation utilise du sainfoin comme principale espèce herbacée pour son enherbement autour des arbres, une espèce ayant une forte croissance empêchant d'autres plantes indésirables de coloniser la parcelle. Ses autres avantages sont la limitation de l'évaporation de l'eau tombée au sol, la restitution d'azote au sol, et l'intérêt mellifère pour les insectes pollinisateurs. Des ruches ont d'ailleurs été installées à proximité immédiate du verger.

La SCEA de Menon prévoit de planter 2,5 hectare de kiwis en Mars 2023. Les parcelles sélectionnées étaient auparavant utilisées pour des cultures annuelles céréalières.La plantation d'arbres permanents va permettre de séquestrer davantage de CO2 tout au long de l'année par rapport à une culture temporaire. Ce projet va permettre de stocker 131,97 tonnes équivalents CO2 sur 20 ans*. Le sol sera également à même de séquestrer plus de CO2 car il ne sera plus travaillé chaque année. De plus cette nouvelle plantation nécessitera peu d'engrais et de traitements comparé aux cultures précédentes. Ce nouvel itinéraire cultural va contribuer à éviter des émissions et rend le projet encore plus vertueux.