
L’exploitation de M. R est une exploitation de type polyculture élevage allaitant située dans la petite région naturelle de l’Argonne. Elle comporte une surface agricole utile de 485 hectares dont 291 hectares de grandes cultures. Le but de l’exploitant est d’engager la transition agroécologique de son exploitation en réduisant ses émissions de gaz à effet de serre afin d’améliorer son impact environnemental grâce à l’utilisation de multiples leviers agronomiques, non encore mis en place sur son exploitation. Les principaux leviers agronomiques mis en œuvre sur son exploitation visent essentiellement à stocker du carbone stable dans les sols :-Par l’augmentation de la production de biomasse des couverts permis par l’optimisation de la composition des mélanges de variétés et d’espèces de couverts d’intercultures adaptées à ses sols et ses rotations ainsi que l’adaptation de leurs conduites culturales. Ces derniers ont pour vocation de protéger et nourrir les sols ainsi que de capter de l’azote.-L’implantation de luzerne permet de couvrir et structurer le sol, de participer aux désherbages des parcelles par les fauches successives et ainsi que de baisser l’IFT, elle assure au troupeau une autonomie protéïque mais aussi une réduction de la dépendance de l’exploitation à l’azote minéral.-L’apport de fumier en plus sur les parcelles en terre labourable permet d’être moins dépendant de l’azote minéral et d’augmenter la matière organique des sols pour ainsi mieux gérer les épisodes de sécheresse.-L’implantation de colza associé permet de protéger le sol et nourrir la biodiversité notamment à travers les fleurs de la plante compagne et celles du colza. Cette pratique permet également de diminuer l’utilisation d’insecticide grâce à une perturbation de leur sens pour déterminer la nature de la parcelle. La volonté du chef d’exploitation est de diversifier sa rotation et de nourrir ses sols afin d’en préserver la fertilité.
Crédit photo : Coopérative EMC2

Le projet collectif AGROcarbone concerne 16 exploitations de grandes cultures ou polyculture-élevage suivies par la coopérative AGORA. Les exploitations sont situées dans l’Oise pour la majorité ou le nord du Val d’Oise. Les diagnostics carbone réalisés par la coopérative AGORA ont permis d’identifier les leviers pertinents pour améliorer le bilan carbone des exploitations. L’augmentation de la biomasse produite en interculture, courte ou longue, ainsi que l’augmentation de la matière organique restituée au sol, sous la forme d’amendement ou de restitution de paille, permettent d’augmenter le stockage de carbone dans les sols agricoles. Les exploitants ont également prévu de faire évoluer leurs assolements en intégrant des cultures moins consommatrices en intrants. Ceci permet de réduire une partie des émissions de gaz à effet de serre. Les indicateurs agro-environnementaux associés aux pratiques bas-carbone sont stables ou évoluent positivement avec la mise en œuvre des leviers. 2562 ha de grandes cultures sont concernés par le projet (2823 ha de SAU). L’objectif est d’accompagner la mise en place de pratiques bas carbone et la transition agroécologique des exploitations au cours des 5 ans du projet.
Crédit photo : Coopérative Agora

Le projet collectif est suivi par la coopérative CAVAC, basée à La Roche-sur-Yon. Fort de cet accompagnement ces exploitations ont décidé d’améliorer le bilan carbone de leurs exploitations en travaillant sur des leviers liant intérêts agronomiques et environnementaux. Ces leviers mettent en réflexion les pratiques de fertilisation azotée (choix des produits, doses) et l’assolement (choix des couverts et des cultures). L’impact en termes de bilan carbone est positif tant au niveau de la diminution des émissions de gaz à effet de serres, qu’au niveau de l’augmentation du stockage de carbone dans le sol. Le choix des leviers pour chacune des exploitations a été fait en tenant compte des spécificités de chacune d’entre elles afin d’assurer le bon équilibre entre rendements culturals et réductions des GES. Le choix de ces leviers impactent positivement de nombreux cobénéfices aussi bien au niveau du potentiel nourricier, de la qualité de l’eau, de l’air, du maintien de la biodiversité, diminution de la déforestation importée...
Crédit photo : Coopérative CAVAC

L’exploitation de M. R est exclusivement céréalière et est située dans la petite région naturelle du Barrois. Le but de l’exploitant à travers la démarche carbone est de diminuer son impact sur l’environnement au niveau des interventions phytosanitaires mais aussi de ses émissions de gaz à effet de serre. La surface du projet est de 116 hectares. Les principaux leviers mis en œuvre par l’agriculteur pour y parvenir sont les suivants : -Le changement de forme d’azote en passant de la solution à de l’ammonitrate afin de diminuer les émissions de protoxyde d’azote lors de l’épandage des fertilisants. -La restitution de toutes les pailles des cultures de l’exploitation pour augmenter la matière organique des sols et être ainsi plus résilient lors des périodes de sécheresse. -Le semis de couverts d’intercultures sur une plus grande surface avec des espèces plus adaptées aux conditions pédoclimatiques de l’exploitation afin d’en augmenter la production de biomasse ainsi que les restitutions toujours dans le but d’augmenter la matière organique des sols ainsi que de stocker du carbone durablement dans le sol. L’objectif de l’agriculteur réside principalement sur l’augmentation de l’activité biologique dans ses sols.
Crédit photo : Raphaël Lecocq

Le projet collectif est suivi par la coopérative CAVAC, basée à La Roche-sur-Yon. Fort de cet accompagnement ces exploitations ont décidé d’améliorer le bilan carbone de leurs exploitations en travaillant sur des leviers liant intérêts agronomiques et environnementaux. Ces leviers mettent en réflexion les pratiques de fertilisation azotée (choix des produits, doses) et l’assolement (choix des couverts et des cultures). L’impact en termes de bilan carbone est positif tant au niveau de la diminution des émissions de gaz à effet de serres, qu’au niveau de l’augmentation du stockage de carbone dans le sol. Le choix des leviers pour chacune des exploitations a été fait en tenant compte des spécificités de chacune d’entre elles afin d’assurer le bon équilibre entre rendements culturals et réductions des GES. Le choix de ces leviers impactent positivement de nombreux cobénéfices aussi bien au niveau du potentiel nourricier, de la qualité de l’eau, de l’air, du maintien de la biodiversité, diminution de la déforestation importée...
Crédit photo : Coopérative CAVAC

Le projet collectif AGROcarbone concerne 16 exploitations de grandes cultures ou polyculture-élevage suivies par la coopérative AGORA. Les exploitations sont situées dans l’Oise pour la majorité ou le nord du Val d’Oise. Les diagnostics carbone réalisés par la coopérative AGORA ont permis d’identifier les leviers pertinents pour améliorer le bilan carbone des exploitations. L’augmentation de la biomasse produite en interculture, courte ou longue, ainsi que l’augmentation de la matière organique restituée au sol, sous la forme d’amendement ou de restitution de paille, permettent d’augmenter le stockage de carbone dans les sols agricoles. Les exploitants ont également prévu de faire évoluer leurs assolements en intégrant des cultures moins consommatrices en intrants. Ceci permet de réduire une partie des émissions de gaz à effet de serre. Les indicateurs agro-environnementaux associés aux pratiques bas-carbone sont stables ou évoluent positivement avec la mise en œuvre des leviers. 2562 ha de grandes cultures sont concernés par le projet (2823 ha de SAU). L’objectif est d’accompagner la mise en place de pratiques bas carbone et la transition agroécologique des exploitations au cours des 5 ans du projet.
Crédit photo : Coopérative Agora

La SCEA de Mouilly est une exploitation de polyculture élevage, qui exploite une surface de 306 ha dont 28 de prairies permanentes et 278 ha de cultures. L’exploitation possède également un atelier bovin viande.Le gérant de la SCEA s’est engagé dans la démarche label bas carbone afin de financer des leviers qu’il pense vertueux pour son exploitation. Ces leviers sont donc : Mise en place de couverts d’intercultures sur une surface de 105ha avec un objectif de production de 2TMS/ha. Ce levier permettra à l’agriculteur d’enrichir ses sols en MO ainsi que de recycler les éléments minéraux. Intégration d’une plus grande surface de luzerne. Cela permettra à l’agriculteur de produire un fourrage de haute qualité pour son cheptel ainsi que de diminuer la quantité d’engrais achetée sur l’exploitation.
Crédit photo : Raphaël Lecocq

Le projet collectif AGROcarbone concerne 16 exploitations de grandes cultures ou polyculture-élevage suivies par la coopérative AGORA. Les exploitations sont situées dans l’Oise pour la majorité ou le nord du Val d’Oise. Les diagnostics carbone réalisés par la coopérative AGORA ont permis d’identifier les leviers pertinents pour améliorer le bilan carbone des exploitations. L’augmentation de la biomasse produite en interculture, courte ou longue, ainsi que l’augmentation de la matière organique restituée au sol, sous la forme d’amendement ou de restitution de paille, permettent d’augmenter le stockage de carbone dans les sols agricoles. Les exploitants ont également prévu de faire évoluer leurs assolements en intégrant des cultures moins consommatrices en intrants. Ceci permet de réduire une partie des émissions de gaz à effet de serre. Les indicateurs agro-environnementaux associés aux pratiques bas-carbone sont stables ou évoluent positivement avec la mise en œuvre des leviers. 2562 ha de grandes cultures sont concernés par le projet (2823 ha de SAU). L’objectif est d’accompagner la mise en place de pratiques bas carbone et la transition agroécologique des exploitations au cours des 5 ans du projet.
Crédit photo : Coopérative Agora

L’EARL de bellefontaine est une exploitation céréalière exploitant 235 ha a Rouvrois-sur-Othain.L’exploitation est actuellement en transition vers une gestion plus durable de ses sols et de leurs fertilités : l’agriculture de conservation des sols.C’est pour cela que l’agriculteur est rentré dans un projet label bas carbone, afin de valoriser ses changements de pratique en les finançant.Les leviers mis en place sur l’exploitation sont :Mise en place de couverts d’intercultures sur une surface de 72 ha afin de produire une biomasse restituée au sol ainsi que de structurer le sol pour y implanter la culture suivante sans travail du solAssociation du colza avec légumineuse gélive, cela permettra de fournir au sol une biomasse durant l’hiver
Crédit photo : Coopérative EMC4

Situé en Nouvelle Aquitaine, précisément à Vidaillat en Creuse (23), notre projet de reforestation s’inscrit dans un contexte de reconversion d’une friche en un espace forestier diversifié. La surface cadastrale de 2,6 hectares, située à une altitude de 600 mètres et bénéficiant d’une pluviométrie annuelle de 1012 mm, présente une opportunité unique pour le développement d’un peuplement forestier composé de chêne sessile, chêne rouge et hêtre. Ce projet vise à replanter 3200 arbres sur la totalité de la surface, transformant ainsi une friche en une forêt gérée durablement. La proximité de la ville de Limoges renforce l’importance de ce projet pour la région, en contribuant à la préservation de la biodiversité locale et en agissant comme un puits de carbone, crucial pour contribuer à l’atténuation du changement climatique.