

Madame J. possède une exploitation céréalière dans la petite région naturelle du Rupt de Mad jouxtant le lac de la Madine. Son exploitation comporte une SAU de 120 hectares de terres arables. Le but du projet de Madame J. est d’améliorer la fertilité et d’augmenter la matière organique de ses sols grâce à plusieurs leviers : -Tout d’abord la réduction de moitié de la quantité de compost qu’elle épandait auparavant sur son exploitation afin de diminuer les émissions dues au processus de compostage.-La réduction de la fertilisation azotée, afin de diminuer les émissions de protoxyde d’azote, permise par : les intercultures qui en apportent en se dégradant, grâce à la modulation intra parcellaire qui permet de mettre la bonne dose au bon endroit et ainsi d’en utiliser moins, en changeant de forme notamment en passant de la solution à l’ammonitrate sur une partie de son exploitation pour diminuer la volatilisation de la solution.-L’introduction de plantes compagnes dans le colza pour perturber les ravageurs et ainsi diminuer les IFT mais aussi la fertilisation grâce à l’azote qui est captée par la plante compagne.-Enfin par l’augmentation des surfaces semées, l’amélioration des techniques de semis et le changement pour des espèces plus adaptées dans les couverts d’intercultures afin de produire davantage de biomasse et ainsi de capter le maximum de carbone pour le stocker durablement dans le sol.L’objectif de l’exploitante à travers la démarche carbone est de réduire ses émissions de gaz à effet de serre tout en stockant du carbone et en augmentant sa matière organique pour améliorer la résilience de son exploitation.
Crédit photo : Raphaël Lecocq
Les photographies d'illustration des projets sont des images purement illustratives.
Madame J. possède une exploitation céréalière dans la petite région naturelle du Rupt de Mad jouxtant le lac de la Madine. Son exploitation comporte une SAU de 120 hectares de terres arables. Le but du projet de Madame J. est d’améliorer la fertilité et d’augmenter la matière organique de ses sols grâce à plusieurs leviers : -Tout d’abord la réduction de moitié de la quantité de compost qu’elle épandait auparavant sur son exploitation afin de diminuer les émissions dues au processus de compostage.-La réduction de la fertilisation azotée, afin de diminuer les émissions de protoxyde d’azote, permise par : les intercultures qui en apportent en se dégradant, grâce à la modulation intra parcellaire qui permet de mettre la bonne dose au bon endroit et ainsi d’en utiliser moins, en changeant de forme notamment en passant de la solution à l’ammonitrate sur une partie de son exploitation pour diminuer la volatilisation de la solution.-L’introduction de plantes compagnes dans le colza pour perturber les ravageurs et ainsi diminuer les IFT mais aussi la fertilisation grâce à l’azote qui est captée par la plante compagne.-Enfin par l’augmentation des surfaces semées, l’amélioration des techniques de semis et le changement pour des espèces plus adaptées dans les couverts d’intercultures afin de produire davantage de biomasse et ainsi de capter le maximum de carbone pour le stocker durablement dans le sol.L’objectif de l’exploitante à travers la démarche carbone est de réduire ses émissions de gaz à effet de serre tout en stockant du carbone et en augmentant sa matière organique pour améliorer la résilience de son exploitation. Le partenaire de terrain pour le suivi de la mise en œuvre du projet est : EMC2.
La méthode Label Bas Carbone utilisée pour ce projet est la méthode Grandes Cultures.
La méthode Grandes Cultures valorise les réductions d'émissions issues de modifications de pratiques agricoles dans les ateliers de grandes cultures.
Augmentation de la contribution à la biodiversité : une augmentation de la proportion d'éléments comme les prairies et la diversité des cultures contribue à la biodiversité
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeRéductions des émissions d'ammoniac : une réduction des pertes d'azote apportées vers l'air contribue à limiter la pollution atmosphérique de l'exploitation
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeRéduction de l'excédent du bilan azoté : une réduction des pertes d'azote apportées vers l'eau favorise une meilleure qualité de l'eau
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeDiminution sur les ressources peu renouvelables et phosphore : une réduction permet de limiter l'impact sur des ressources peu renouvelables ou limitées
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeAugmentation du potentiel nourricier : le projet permet d'augmenter le nombre de personnes potentiellement nourries par l'exploitation
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeAugmentation de la production de protéines végétales : cette production viendra, pour partie, se subsister à l'importation de protéines végétales pour les animaux
Découvrir tous les projets ayant ce co-bénéficeDébut du projet
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Audit final - Certification des crédits carbone
Le mandataire du projet est Carbon and Co.
CarbonAndCo est une filiale du groupe InVivo Bioline assurant … crédibilité et solidité financière du mandataire sur un marché du carbone volontaire en pleine construction. La raison dêtre de CarbonAndCo:
- Mutualiser des projets Carbone des agriculteurs permettant d’agréger et de tracer pour ses clients – les financeurs de projet – les crédits carbone reconnus par les cadres de certification types LBC
- Garantir la juste rémunération du crédit carbone agricole au regard des coûts réels et des spécificités du projet de transition : localisation, choix des leviers évolution et impacts des co-bénéfices (biodiversité, qualité de l’eau et des sols…)
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