Louresse-rochemenier (Maine-et-Loire) - Grandes Cultures
Mandataire
Certification
Disponible
Louresse-rochemenier (Maine-et-Loire) - Grandes Cultures
Réductions d'émissions générées : 155 téq CO2
RégionPays de la Loire
Co-bénéficesQualité de l'air, Réduction consommation soja, Potentiel nourricier, Réduction énergie non renouvelable
MandataireFrance Carbon Agri
Date de fin du projet
Mai 2028
Prix0,00 € HT par téq CO2
Description du projet
Le projet porte sur
une réduction de la dose d'engrais pour limiter la quantité de GES émis
une réduction de l'apport d'engrais par l'introduction de légumineuses
une réduction de la consommation d'énergie fossile pour réduire les émissions associées à leur production et utilisation
une augmentation de la biomasse restituée par les couverts végétaux pour améliorer le stockage du carbone dans les sols
Augmentation des restitutions par les résidus de cultures
Pour aller plus loin : les leviers
Ajustement du calcul de doses prévisionnelles grâce à une meilleure prise en compte des apports et des objectifs de rendement : La production des fertilisants dégagent des GES et il peut y avoir émission de GES lors de l'application. Diminuer leur utilisation agit directement sur la réduction des émissions de GES.
Prise en compte des conditions climatiques pour le déclenchement des apports : Cela permet d'éviter autant que possible la volatilisation, et donc des GES, des fertilisants lors de leur application.
Utilisation d'outils de pilotage : Cela permet la réduction d'utilisation de fertilisants, leurs productions dégagent des GES et il peut y avoir émission de GES lors de l'application. Les diminuer en apportant la bonne dose agit directement sur la réduction des émissions de GES.
Modulation intraparcellaire : Cela permet la réduction d'utilisation de fertilisants, leurs productions dégagent des GES et il peut y avoir émission de GES lors de l'application de ces fertilisants. Les diminuer en apportant la dose au bon endroit dans la parcelle agit directement sur la réduction des émissions de GES.
Introduction des légumineuses fixatrices d'azote dans la rotation ou des cultures/variétés à plus faible besoin en azote : L'apport d'azote par l'introduction de légumineuses permet de réduire l'utilisation d'engrais. La production de ces engrais est émettrice de GES, et leur application peut conduire à une volatilisation de GES.
Réduction du nombre de passage des engins agricoles sur le système de culture : La réduction du passage d'engins permet la diminution de la consommation de carburant. La production et la combustion de carburant génère des GES.
Réduction de la consommation d'énergie des engins : La réduction de la consommation des engins permet la diminution de la consommation de carburant. La production et la combustion de carburant génère des GES.
Réduction de la consommation d'énergie du système de séchage et/ ou de stockage des grains : La production d’électricité génère des GES. La production et la combustion de carburant génère des GES.
Augmentation de la quantitée de biomasse restituée par les couverts végétaux : Les couverts végétaux fixent le carbone de l'air et le restituent dans le sol.
Augmentation des restitutions par les résidus de cultures : Les plantes fixent le carbone du CO2 de l'air dans leurs cellules. Lorsque la partie non récoltée des cultures restent dans le sol, le carbone est ainsi stocké dans celui-ci.
Augmentation des apports de matières fertilisantes d'origine résiduaires sur l'exploitation : Ces apports organiques contiennent un ratio important de carbone qui a été fixé. Il va donc être bloqué dans le sol.
Mise en place de technique permettant de récolter à plus faible teneur en humidité : La récolte plus tardive permet de limiter l'utilisation d'énergie liée au séchage des graines
Identifiant projet A3_50_823306
Les photographies d'illustration des projets sont des images purement illustratives.
Présentation du projet
L'exploitation s'étend sur une surface de 125 hectares dont principalement 48 de céréales, 34 de cultures divers et 20 de maïs grain. Située à Louresse-rochemenier dans le département du Maine-et-Loire. L'exploitation exerce une activité de Grandes Cultures.
Le partenaire de terrain pour le suivi de la mise en œuvre du projet est : SOLENAT.
Méthode utilisée
La méthode Label Bas Carbone utilisée pour ce projet est la méthode Grandes Cultures.
La méthode Grandes Cultures valorise les réductions d'émissions issues de modifications de pratiques agricoles dans les ateliers de grandes cultures.
Réductions des émissions d'ammoniac : une réduction des pertes d'azote apportées vers l'air contribue à limiter la pollution atmosphérique de l'exploitation
Les projets sont soumis à une grille d'évaluation de leurs impacts et co-bénéfices environnementaux conformément aux méthodes labellisées par le ministère de l'Environnement. Ces indicateurs permettent de s'assurer que les éventuels impacts sont maîtrisés et compatibles avec le Label Bas Carbone France. Ils font l'objet d'un suivi et de vérifications par un auditeur. Afin d'obtenir plus d'informations, veuillez vous rapprocher de France Carbon Agri.
Étapes du projet
Octobre 2022
Octobre 2023
Octobre 2024
Octobre 2025
Octobre 2026
Octobre 2027 - Mai 2028 (prévisionnels)
Début du projet
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Suivi annuel
Audit final - Certification des crédits carbone
Porteur de projet / mandataire
Le mandataire du projet est France Carbon Agri.
Initiative pionnière créée en 2019, France Carbon Agri, leader de la labellisation de projets Label Bas Carbone agricoles, accompagne plus de 3 000 agriculteurs dans leur transition bas-carbone. Elle coopère avec une soixantaine de développeurs de projets locaux sur l'ensemble du territoire français.
France Carbon Agri a pour mission : • de coordonner la gestion des projets les agriculteurs et leurs conseillers techniques locaux dans la labellisation et la bonne conduite des projets agricoles de transition bas-carbone. • d'accompagner les entreprises et organisation souhaitant contribuer au développement de projets agricoles bas carbone dans les territoires.